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Chaise Tripod – Bar le Saint Germain à Rennes

Chaise Tripod – Bar le Saint Germain à Rennes

Chaise Tripod - Bar le Saint Germain à Rennes.

Chaise Tripod – Bar le Saint Germain à Rennes.

Dans le cadre de la régulation de l’accoustique du bar, nous avons réfléchi à la chaise Tripod, chaise de bar en massif avec patins accoustiques en PET.

Lieu : Bar le Saint Germain 9 Place Saint-Germain, 35000 Rennes

Une chaise à 3 pied, un exercice difficile mais gage de stabilité et de singularité. Pour faire suite à la demande des propriétaires du Bar, la chaise tripod à été créée pour réduire l’impact sonore provoqué par les chaises précédentes en piétement acier qui résonnaient sur le carrelage et occasionnaient une gêne dans le voisinage proche.

Tripod est conçue spécifiquement pour les bars, un volume compact, un poids contenu pour une chaise en bois massif, un dossier qui invite à manipuler ou à déposer sa veste.

La structure en chêne cohabite avec des éléments d’assises et dossier en contreplaqué de bouleau. Le tout est traité à l’aide d’une huile incolore qui permet de garder les teintes les plus proches de l’origine.

Collaboration avec L’Atelier Lanoë

La réalisation de la série de 38 chaises Tripod à été confiée à l’Atelier Lanoë avec qui je collabore régulièrement sur différents projets. Fabriquée à la main, ces chaises sont 100% Rennaises. 

Le piètement et la structure sont en chêne. L’assise et le dossier en contreplaqué de bouleau. Le tout est assemblé par vis et tourillons.

Le bois brut réduit le bruit de l’impact des chaise sur le carrelage du bar, le tout est également amorti par des patins en PTFE.  

Réalisation 

Dimensions : Long 80cm x larg 40cm x Hauteur 35cm

Matériaux : Chêne / Contreplaqué de Bouleau 22mm / Patins en PTFE. Fabrication Manuelle. Finitions Huilée.  

Année : 2020

Photographies : © Thomas Dellys 

 

Nuit Blanche Mayenne 2019 –  » 石とガウジ » La Pierre et la Gouge.

Nuit Blanche Mayenne 2019 –  » 石とガウジ » La Pierre et la Gouge.

Nuit Blanche Mayenne 2019 - " 石とガウジ" La Pierre et la Gouge.

Nuit Blanche Mayenne 2019

Commissariat Mathias Courtet et le Centre d’art Contemporain Le Kiosque.

avec : ALFONSE, PAUL ET LES AUTRESSIMON AUGADEVIRGINIE BARRÉATELIER BERTHIER, BOLD DESIGN, CHRISTIAN BONNEFOIRONAN BOUROULLEC, MIRIAM CAHN, BASTIEN CONTRAIRELES DUCHESSES DE MAYENNEFAÏENCERIE D’ART DE MALICORNE, BERNARD FRIZE, OLIVIER GARRAUDVICTOR GUÉRITHAULT, RAYMOND HAINS, SIMON HANTAÏ, VALÉRIAN HENRY, REBECCA HORN, BERTRAND LAVIER, MAEL LE GOLVAN, DIDIER MENCOBONI, RÉGIS PERRAY, BERNARD PIFFARETTI, SLOW PARK, MARIE-AURORE STIKER METRAL, MANON TRICOIRE, CLAUDE VIALLAT, SÉBASTIEN VONIER.

Production pour l’exposition 2019 / Assistant Tom David.

Lieu : Palais de la Barre Ducale

 

 

« Thomas Dellys aime le bricolage et on en est bien aise ! Bricoler, c’est avant tout essayer, voir et comprendre les matériaux ; une approche primordiale, un socle sûr, pour tout designer un peu sérieux.
Du sérieux, ce rennais n’en manque pas. Pour Mayenne il fend – avec une gouge – la tendresse des matières plastiques laiteuses. Absorption de nouveaux usages sur de nouveaux matériaux, il exploite la caisse à outils avec une certaine clairvoyance. Les surfaces de ses lampes laissent apparaître de nouvelles textures.
Autant de dessins manuels qui s’exercent par son
poignet et ses yeux de renard du Tibet. Ses globes sont affutés et révèlent un travail de texture. La lumière est alors fragile et sensible à nos yeux ; tout aussi douce que ce travail qu’il exerce avec mesure,
à la mesure de nos intérieurs. Le bricolage retrouve ses lettres de noblesses et il en est l’un des princes. »

Mathias Courtet. Commissaire de L’exposition Nuit Blanche Mayenne 2019. 

 

Le travail d’usinage.

L’installation est composé de modules lumineux créés à partir d’une matière opaque et laiteuse : le PVC Expansé (de la marque Forex). Le travail d’usinage de cette matière destinée aux travaux d’enseigne et de publicités sur le leiu de vente, permet de réduire son épaisseur et lui donner de la transparence. Le travail à la CNC ou à la défonceuse, pour avoir ces usinages rectilignes, vient en contraste avec le travail effectué à la gouge. L’alcôve centrale témoigne du travail de précision du façonnage à la machine tandis que les alcôves latérales laissent place au travail manuel de la gouge et exprime son irrégularité .

Dimensions module central : Long 300cm x larg 12cm x Hauteur 200cm. Composé de modules à dimensions et disposition variables. 

Réalisation

Matériaux : PVC expansé, Contreplaqué de Pin, Bandeau Led.

Usinage à la défonceuse et à la gouge. 

Pièces du module central Libre à Edition et à la vente. 

Pièces des modules latéraux libre à la vente. 

 

Muséographie de L’autre Lieu – EPD Grugny

Muséographie de L’autre Lieu – EPD Grugny

L'autre Lieu - Muséographie

Muséographie pour L’autre Lieu, espace de création et de mémoire à Grugny.

Conception de la muséographie de l’espace pluridisciplinaire L’autre Lieu en collaboration avec L’Etablissement Public Departemental de Grugny, Nos Années Sauvages et le Centre Dramatique National de Normandie.

L’autre Lieu • espace de création et de mémoire, est un lieu de création et de diffusion
au sein de l’établissement médicosocial dans un pavillon de 950m2. Un lieu de rencontre regroupant un musée dédié à la mémoire du lieu et des résidents, un studio de répétition pour des compagnies de danse ou de théâtre, un atelier pour des résidences d’artistes plasticiens, ainsi qu’une galerie d’exposition.

 

Système Modulaire

La muséographie est pensée comme un système modulaire de boîtes.Construit à la manière d’un cabinet de curiosités, il est centré sur la valorisation des effets personnels des résident•e•s décédé•e•s ainsi que sur l’histoire de l’Établissement Public Départemental de Grugny. Chacun des cartons découverts dans cette salle abrite une histoire réelle, une vie, ils sont les témoins de leur passage, de leur quotidien et de leur identité.

Ces histoires rendent compte de la vie intime et collective des résident•e•s dans l’Établissement. Elles nous invitent également à nous questionner sur notre rapport personnel à la mémoire et la disparition, notions qui nous habitent à chacune des étapes de ce projet culturel. Il s’agit ici de rendre compte de l’ensemble de ces objets de manière archéologique, en réalisant un inventaire proche du scientifique.

Un mobilier central, dont la conception est confiée au designer Thomas Dellys, archive les objets des résident•e•s et sert également de dispositif d’exposition annuelle. L’enjeu est de pouvoir préserver et valoriser les différents contenus de manière pérenne. Des panneaux rédigés par la dramaturge et historienne Corinne Meyniel permettent de ponctuer la déambulation du public à travers une approche historique et sociologique.

Une borne d’accueil a été conçue également afin d’acccueillir les visiteur et les supports de communication. Elle reprend le contreplaqué brut et le cuivre présent en petite touche sur les boîtes et dans une autre partie du projet : Le plateau de création du Centre Dramatique National de Normandie, situé dans une pièce voisine, et dont les murs sont du même bleu.

 

 

Contenu et orientation Muséographique

Au sein du musée, le public peut découvrir un documentaire réalisé par le vidéaste Florent Houdu, à travers des interviews et des témoignages des résident•e•s et du personnel de l’établissement. L’artiste Wojtek Doroszuk a également réalisé une vidéo avec certains résident•e•s qui découvraient cette «salle aux cartons» pour la première fois. L’occasion pour le public de découvrir cet espace comme nous l’avons découvert il y a quelques mois.

Une installation questionnant notre rapport aux photographies et aux images d’archives a été réalisée par le photographe Thomas Cartron.

Des expositions temporaires permettent d’activer et de rendre visibles des parties de cette « collection ». Ces propositions mettent en valeur certaines boites et feront l’objet d’un catalogue, conçu et mis en page chaque année par le duo de graphistes de l’Atelier Tout va bien, qui a également réalisé l’ensemble de la charte graphique.

 

 

Réalisation  :

Dimensions : Long 80cm x larg 40cm x Hauteur 35cm
Matériaux : MDF peint en Noir et Blanc /  Aluminium peint en cuivre / CP Peuplier / Plexiglass.
Année : 2019

Photographies : © Thomas Cartron

L’autre Lieu • EPD de Grugny
634, rue André Martin, 76 690 Grugny
mail@lautrelieu.com

Avec le soutien de l’Union Européenne — LEADER, de l’Agence Régionale de Santé de Normandie, de la Direction Régionale des Affaires Culturelles de Normandie, du Département de la Seine-Maritime, du Fonds Caisse d’Épargne Normandie pour l’initiative solidaire et du Centre Dramatique National de Normandie-Rouen.

Exposition « Fort Contemporain » – Musée du Château de Mayenne

Exposition « Fort Contemporain » – Musée du Château de Mayenne

Exposition "Fort Contemporain" - "Le Charivari" Musée du Château de Mayenne.

Exposition collective « Fort Contemporain » au Musée du Château de Mayenne.

Commissariat Mathias Courtet et Mathieu Grandet. 

avec : Barreau et Charbonnet , Julien Colombier, Thomas Dellys, Charles Freger, Raphael Garnier, Valérian Henry, Jules Julien, Laurent Pernot, Marie Aurore Stiker Métral, Rubenimichi, Raphael Zarka et L’orchestre du Pays de Haute Mayenne.

Production Musée du Château de Mayenne 2019 / Assistant Tom David.

 

Proposition autour de l’interprétation du Bal des Ardents, à partir de la miniature des chroniques de Jean Froissart réalisé par de Philippe de Mazerolles aux alentours de 1470. 

Le 28 Janvier 1393, 4 membres de la noblesses périssent lors d’un charivari. Alors qu’ils distrayent l’assemblée grimés en sauvage, Louis, duc d’Orléans et frère du Roi, entre dans la pièce avec une torche qui embrasera 6 des participants du charivari, dont son frère souverain.  Le Roi Charles VI ,qui fut sauvé in extremis, sombra définitivement dans la folie.  

 

Bois Brûlé et Faïence Rouge

L’installation se compose de plusieurs éléments. Une table en bois brûlé constitue la base sur laquelle viennent se positionner des pièces en céramique. La table est haute, composée de contreplaqué de pin et de pieds en hêtre. 

L’utilisation du feu dans la réalisation des pièces est une constante, elle fait directement référence à l’incendie du Bal des Ardents. La table est brûlée, brossée puis vernie, afin d’y positionner les pièces en céramique et constituer un fort contraste entre la faïence rouge, l’email noir brillant et le bois Mat calciné. 

Dimensions : Long 180cm x larg 60cm x Hauteur 92cm

Brocs, tasses et assiettes en céramique. Faïence Rouge et email noir brillant. 

Les pièces en céramique sont réalisées par coulage à l’aide de faïence rouge dans des moules en plâtre. Elles ont ensuite été émaillées à l’intérieur en noir brillant afin de contraster avec l’aspect mat de la table. 

La série est constituée de vaisselle afin de re-contextualiser le banquet pendant lequel le bal des ardents a eu lieu. Les brocs sont des éléments importants puisqu’ils ont servi à tenter de sauver les protagonistes de ce bal, les personnes présentes jettant des brocs d’eau sur les sires enflammés afin de stopper leur combustion. 4 des 6 personnes grimées périront par les flammes. Ce sont ces 4 personnes qui sont représentées sur cette installation. 

Les assiettes et tasses sont identiques, en revanche les 4 brocs sont différents afin de représenter ces 4 individus, mort brûlés vif dans cette sordide histoire.

Production du Musée du Château de Mayenne.

L’exposition est visible du 22 Juin 2019 au 06 Octobre 2019.

En partenariat avec le Kiosque, centre d’action culturelle de Mayenne Communauté. Commissariat : Mathias Courtet, coordinateur du centre d’art contemporain Le Kiosque et Mathieu Grandet, directeur du musée du château de Mayenne.

Toutes les pièces sont uniques et peuvent être dissociées. La table est également disponible indépendament du reste. Prix et dimensions sur demande.

Charivari par Mathias Courtet.

Le 28 Janvier 1393, un bal sauvage destiné à distraire Charles VI, tourne au drame. Ce Charivari a eu lieu dans la pénombre avec des danseurs revêtus de costumes de bêtes faits de poix, de lin et de poils, dans une salle richement décorée de l’Hôtel Saint Pol. Un convive y introduit une torche pour apprécier avec plus de clarté le spectacle Royal qui s’y joue. C’est l’embrasement. Le Roi survit, miraculeusement.

Thomas Dellys, designer, étudie cette question du feu, en mettant en lumière ce fait divers tragique enluminé par Philippe de Mazerolle : Le bal des ardents

Si la miniature témoigne avec précision de ce fait d’hiver, elle donne aussi une foule de détails quant à l’art de vivre dans ces petits salons appelés Séjours. On y découvre des tentures et des tapis, des invités vêtus d’habits richement ouvragés dégustant faisans et perdrix ainsi que de goûteux vins carafés, lancés dans des danses endiablées. Ces réceptions sont fastueuses comme le prouvent les éléments de service de table qui trônent face au roi. Et si le siège royal à brûlé, la tête couronnée doit son salut à une jeune princesse qui hâtivement la recouvre de ses jupons afin d’en étouffer le feu déjà bien actif. Un sire invité se jette dans un cuvier d’eau et tente après coup et en vain, de jeter broc d’eau après broc d’eau sur les autres peaux vives de ce cruel brasier. 

Des brasiers il y en a certainement eu dans l’âtre de la cheminée de la cour du château. Le long de cette muraille, on a cuit, peut-être dans les plats aux yeux de perdrix, conservés comme des trophées de terres chamottées dans le château devenu aujourd’hui musée.

Avec aisance, Thomas Dellys façonne dans la terre crue l’anse de son broc en pensant au sire sauvé par sa carafe. Il mélange, moule, démoule et prépare le feu de plein air. Ses carafons une fois prêts sont enfournés. La température monte et la cuisson se fait à l’étouffée. Le bal est autour du feu, l’ardeur bien à l’abri de nos peaux estivales. 

Thomas Dellys défourne puis dresse sa table. Une table sur laquelle trônent ses brocs de terre rougis. Il donne corps à l’anse, pourvu qu’elle serve à donner couleurs à nos joues, afin que le précipité qui coule des carafons nous soit une fois de plus salutaire. 

 

Bureaux de direction de l’EHPAD La Bonne Eure de Bracieux

Bureaux de direction de l’EHPAD La Bonne Eure de Bracieux

Mobilier de Bureau pour La Bonne Eure

Mobilier de Bureau pour la direction de l’EHPAD La Bonne Eure situé à Bracieux

 

L’EHPAD La Bonne Eure inscrit dans le département du Loir-et-Cher, en plein cœur de la Sologne, fait peau neuve avec un nouveau bâtiment repensé pour accueillir au mieux ses 80 résidents permanent et leur offrir les meilleurs services et accompagnements inhérent aux établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes.

 

Basé au coeur de la Sologne, l’EHPAD La Bonne Eure est ancré dans la forêt entre Chambord et Blois, et bénéficie d’une notoriété auprès des solognots. L’établissement véhicule des valeurs fortes et beaucoup d’acteurs du département sont liés à La Bonne Eure.

Dans le cadre du projet d’aménagement de la nouvelle maison de retraite « La Bonne Eure » à Bracieux en Sologne, le collectif Nos années Sauvages est appelé à intervenir sur différents aspect de cet aménagement. La partie allouée au designer consiste à concevoir et réaliser plusieurs éléments de mobilier. Première étape livrée avec ces bureaux pour la direction de l’Ehpad. 
Suite du projet avec la graphiste Anne-Lise Bachelier, les artistes Laurent MartinJulie TocquevilleSylvain WavrantThomas Cartron

Pour la partie mobilier, l’intervention se poursuivra par la création de parois amovibles qui permettront l’accrochage d’oeuvres du FRAC Centre Val de Loire ainsi qu’un food truck qui fera office de boutique pour les résidents; afin que ceux-ci puissent acheter quelques produits de première nécessité et garder ce contact commercial, cette notion d’échange.

Le poids des matériaux.

La sologne est un véritable poumon au centre de la France avec ses milliers de km2 de bois et forêts. Il était donc naturel d’amener cette nature à l’intérieur du nouveau bâtiment. Du contreplaqué de pin et du liège vulcanisé viennent créer les plans de travail et les rangements de ce projet. Les séparations visuelles entre les différents collaborateurs sont matérialisées par des panneaux de plexiglass fluorescents qui reprennent les couleurs principales du bâtiment.

 

 

Caractéristiques

Le projet à été entièrement réalisé en atelier sans sous traitance. Il utilise donc du TEBOPIN, un contreplaqué de pin maritime, vernis. Des surface d’accrochage sont en liège vulcanisé, qui ne s’altère pas et permet une isolation acoustique. 

Le projet se compose de 4 parties Un bureau dédié à l’assistante de Direction et responsable RH, un bureau destiné à la comptable, un bureau destiné au stagiaire et une partie permettant d’accueillir le personnel dans le cadre de rendez-vous RH.

Le projet est pensé comme un îlot, symbolique de la mutualisation des forces et de la synergie présente dans l’établissement.

Pour toute demande n’hésitez pas à me contacter. Vous souhaitez discuter d’un projet personnalisé, vous souhaitez des conseils, vous souhaitez un devis, n’hésitez pas à m’envoyer un message via le formulaire de contact !

A propos de Thomas Dellys

Diplômé de l’Ecole Européenne Supérieure d’Art de Bretagne de Rennes (FR) en option design et titulaire d’un BTS Design Produit, Thomas Dellys est un designer basé à Rennes depuis 2013, il travaille dans le domaine du design d’objet, de mobilier, de la scénographie et de l’architecture d’intérieur.

L’expérimentation, les nouveaux matériaux, l’importance des usages sont autant de problématiques qu’il aborde au travers de ses réalisations. Il aime collaborer sur différents projets à la frontière entre l’art et le design. Ces projets lui permettent de confronter les matières et détourner les techniques traditionnelles de fabrication. Il est attaché aux savoirs faire artisanaux qu’il s’approprie, c’est pourquoi il continue aujourd’hui de développer des projets fait main, à l’aide de matériaux locaux et en collaboration avec des artisans.

Il est important pour lui d’offrir le maximum de potentiel à ses projets, en tenant compte des réalités de ses clients, qu’ils soient professionnels ou particuliers. Tout est affaire d’équilibre entre contraintes budgétaires, environnementales et la force de ses propositions.